Roman à l’eau de rose, littérature sentimentale, romance, ces récits sont souvent écris et lus par des femmes. Le roman sentimental demeure un « mauvais genre » pourtant, il rencontre un vif succès et sa production est dynamique. La journée d’étude du 26 mars se propose de parcourir, sans préjugés, cette production à travers ses formes, sa réception auprès des lecteurs et d’interroger sa place dans les institutions culturelles.